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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 19:33

                             La démocratie est le seul système politique émanant du choix du Peuple à offrir le partage équitable entre tous et l'égalité réèlle à l'élection,c'est parce que ce partage et cette égalité ne se fait plus qu'elle vacille dans des idéologies partisanes tel que nous la connaissons.Le danger d'un tel système,c'est qu'il mène droit vers une dictature aussi démocratique soit-elle et qui fait du vote,alors qu'il ne sert qu'a offrir une place à l'élite dans son organisation,son pilier.Le véritable pilier de la démocratie reste la liberté de choix et de son expression

                                                                            M.A.P.

                                      

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:36

                                         soyez réalistes : demandez l'impossible
                                                                   Ernesto"che"guevara
 



Si il parait que: «L’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’a été que l’histoire de luttes de classes»,il est désormais à comprendre que l'histoire de la démocratie a changé et son citoyen avec,car lui aussi commence à comprendre que c'est sa responsabilité dans l'initiative qui tend à l'individu qu'il est de gagner sa propre liberté de penser pour celle d'exister. 
  

Ce citoyen comprend par ses engagements civiques qu'il peut désormais participer dans sa société différament que de montrer d'autres classes sociales ou communautaires du doigt et cela,tout en faisant entrer dans le même temps la véritable dernière "classe sociale et communautaire" qui reste dans sa démocratie,celle de ces élites politiques et de leurs actions doctrinaires d'un temps révolut.

Mais pour cela,il faut voir l'histoire du citoyen dans sa démocratie et son histoire comme un long processus d'indépendance et d'émancipation de toutes idéologies politiques,de toutes causes religieuses,de toutes pressions communautaires et qui fait face aux échecs de son propre système pour lui permettre d'améliorer les conditions qui sont les siennes,avec détermination et solidarité.

Avec comme seule liberté,celle de l'amélioré dans un sens social et moral sans pour cela la suppression de sa hiérarchie et du respect du choix des autres,qui sont primordiales pour la consolidation d'une société et de ses repéres,ce  citoyen redéfinit les rêgles de la démocratie par ses attendent personnelles et matérielles qui évoluent sans cesse.

Mais pour tenter de gagner dans le temps et son histoire sont droit à l'égalité, l'histoire suggère que c'est la prise d'initiative du citoyen par lui-même avec ses principes de respect et de responsabilité qui est la condition nécessaire à sa propre liberté personnelle et démocratique dans le temps

Mais l'égalité et l'amélioration des conditions,implique pourtant pour certaines idéologies politiques l'absence de castes et de classes tout en démontrant,par le temps et son histoire elles aussi, que celles-ci n'équivalaient pas à la suppression, par la doctrine,de la hiérarchie sociale et économique de ces représentants

Pourtant,l'égalité des conditions se redéfinit,elle aussi,sans cesse et ne peut se dissocier de la dynamique dut aux victoires ou aux pertes des acquis sociaux.Si la liberté se traduit dans la démocratie par l'égalité des droits civiques et politiques,l'égalité des conditions alors,nous renvoie à la citoyenneté de chacun et de sa responsabilité dans le partage équitable entre tous.

Dans un système qu'il soit socialo-communiste ou néo-libéral-capitaliste,la théorie des fondements idéologiques et doctrinaires qui ont comme seule et unique thése commune le vote,alors l'opposé du système dominant,le non vote,peut-être considéré dés lors,comme l'antithèse.

Dans une société ou deux force distingue se font face,pouvoir et contre-pouvoir,la lutte pour un système plus solidaire,plus humain n'ayant au final,que comme solution,pour les deux partie engagée que la négociation et le consensus,un nouveau système hybride,structurera dans un organisme ou tous y trouverai sa place,la synthèse.

Sachant que sur l'échiquier social et politique,les coups et contre-coups des joueurs usant à ce limiter les uns et les autres pour ce mettre en échec,en fin de partie,cela devra offrir à l'antithèse irrémédiablement le droit d'exister.Si cela arrive,n'est-t-il pas qu'a la base,la pensé exclue a vaincu la thèse bien établie...

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:36
     election1-copie-1.jpg                                 le Soir du 13/02/2010
 

                

 

             

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:34
On a parfois le sentiment que nos démocraties représentatives sont en crise en raison d’un déficit croissant de confiance dans les élites politiques,ce qui produit une défection du vote garant,parait-il,du civisme dans nos société comptemporaine.
 
Pourtant les plus récents travaux de politologie montrent que l’activité citoyenne n’est pas vraiment en déclin,elle tend plutôt à revêtir de nouveaux atours.Même si nous le faisons plus souvent,nous sommes moins nombreux à voter que par le passé,en revanche,d’autres formes non conventionnelles de participation émergent et se renforcent : pétitions,manifestations,prises de parole dans des forums,engagements dans des collectifs de lutte,etc. et ce développement est d’autant plus important que les objets et les occasions d’engagement se diversifient tant au niveau local qu'au niveau global même si cela se cantonne le plus souvent dans le registre de la protestation.
 
  
cette mutation citoyenne soutient que les pratiques de défiance des citoyens à l’égard de ceux qu’ils ont élus sont structurellement nécessaires à la démocratie,elles sont le complément essentiel des mécanismes de représentation électorale.Par c'est trois fondements(suveiller,empêcher,juger)la Contre-démocratie remédie,en partie,à la difficulté de reconstruire la confiance dans le travail des représentants surveiller.
 
 La  contre-démocratie recouvre donc plutôt une exigence démocratique de contrôle par les citoyens eux-mêmes de  l’engagement des autorités en faveur du bien commun.Le régime politique représentatif indirecte ou particratie qui limite actuellement la démocratie qu'a sa participation électorale,ne permet pas la responsabilisation de chacun sur l'action publique à mené puisqu'elle est centralisé,concentré par les partis et leurs présidents qui ont comme seul ligne idéologique concrête :"votez pour nous,nous penserons pour vous".

Et c’est bien parce que le mécanisme électif lui-même n’épuise pas le sens de l’idéal démocratique, que des pratiques de défiance démocratiques vont se déployer,parfois s’institutionnaliser,manifestant une autre voie d’expression de la souveraineté populaire.
 
  
La surreprésentation des partis dans tout les domaines empêche donc les citoyens de participer,comme il se devrait,pleinement à la gestion des affaires publiques mais par l'entrée des mouvements sociaux et leur régime Contre-Démocratique sur l'échiquier sociale et politique,un rapport de force,par une pression sur l'engagement des autorités en faveur du bien commun,c'est édifier.Même si la distance entre société civile et institutions ne cesse de se creuser,la recherche d'une démocratie plus participative fait son chemin.Il est désormais établit que les citoyens sont désireux d'avoir leur part d'initiative sur les projets sociétal lancé et qui structure une société.
 
Nous devons aussi admettre l'évidence,le citoyen a peut de contrôle sur ces hemicycles,il ne sait pas ce qu'y si passe et ne peut compter que sur la deontologie éthique des politiciens travaillant les lois,qui régissent notre société,pour être defendu.
 
La particratie a réduit à néant les outils defensif de contre-pouvoir sain pour la démocratie, ce qui permet à la tyrannie de la majorité,grâce aux alliances de partis politiques forts,d'éviter l'apparition de partis émergents en se constituant des lois à leurs profits ou en occupant intensivement des médiats qui ne sont pas politiquement neutres dans un système particratique et qui constituent donc un pouvoir détenu par les partis décideurs,ce qui renforce un risque de dérive vers une pensée unique et empêche toute amorce de bipolarisation réelle de l'enjeu électoral.
 
Ces coalitions sont rarement renversées par le parlement ou défaites par les urnes,elles auront plutôt tendance à imploser suite à l'apparition de
divergences entre les composantes du gouvernement et provoquera le retour aux élections pour un éternel recommencement,créant de fait l'immobilisme politique.

 

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:34

 

Le référendum est une procédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte et qui ne sera adopté qu’en cas de réponse positive. Il a pour fonction d'amener une compréhension utile sur et pour la société afin, par la suite, d'être travailler éfficacement par nos élus 

Le référendum est donc, avant tout, un instrument de " démocratie directe " car il permet au peuple d’intervenir directement dans la conduite de la politique nationale, européen ou locale . Même si le referendum est devenu, désormais, une expression civique sans véritable conséquence sur le politique. Aujourd’hui, beaucoup d’observateurs proposent de recourir davantage à cette action, notamment pour faire évoluer certains domaines de la vie sociale difficiles à réformer (ex : Éducation nationale).Il peut servir pour l’adoption d’un projet de loi et l’autorisation de la ratification d’un traité(ex:Europe).Pour réviser la constitution ou pour soumettre à la décision des électeurs d’une collectivité territoriale un projet d’acte relevant de sa compétence(en Belgique cela est plus souvent une pétition,avec les résultats que l'on connaît)

 

Il faut savoir que la constitution en Belgique ne prévoit pas de référendum populaire sur le plan national, mais l'on peut l'autoriser sur le plan communal ou régionale (code de démocratie locale

            
   
En Belgique,l'élection se fait elle aussi en deux tour : Le premier par les urnes et le deuxième par la négociation pour le pouvoir entre partis. En faite, c'est dans le deuxiéme tour que le citoyen perd sa souveraineté et sa responsabilité sur lui-même, est-ce normal ? Si le citoyen ne désire pas se choisir un leader dans l'isoloir ou par un autre principe. Il est de son droit et de son devoir t'expliquer au vainqueur de l'élection ce qu'il attend de lui. Tout en respectant le choix électoral des autre citoyens.
 
L'élaboration d'une démocratie sociale et défensive ne pourrai être complète sans les fondements du référendum électoral. Cette action est primordial pour amener la compréhension politique sur les attendes socio-économique et personnelle des citoyens.  Il permet au peuple d’intervenir directement dans la conduite de la politique à convenir. En résumer le système électoral actuel est incomplet, il ne permet pas aux citoyens de participer directement et efficacement aux choix et enjeux de leur société comme il se devrait. Le peuple a ainsi perdu, en faveur des élites du monde de la finance, sa position de pièce maîtresse sur l'échiquier social et politique.
En réalité, nous aurions dut nous rendre deux fois à l'isoloir, une fois pour nous désigner des leaders ou sanctionner le système en place comme cela l'est (à moitié) pour le moment et une deuxième fois par un référendum électoral sur les idées proposées par les partis ayant remporter l'élection. Les idées majoritairement choisie seront la ligne conductrice de la législature à venir. Ainsi le citoyens, le voulant, garde sa souveraineté et sa responsabilité sur lui-même tout en participant à l'élaboration du programme politique à appliqué. Parce que dans une démocratie qu'elle soit direct ou indirecte, le peuple n'est pas que consulter, il y règne et le politique n'est la que pour régir ce règne. 
 
Pour le référendum électoral, tous citoyen de la Cité qu'ils soient belge ou immigré participent. Les citoyens, en se responsabilisant du chemin politique à empreinter, doivent apprendre à se gouverner en gouvernant.                     
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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:33

    La démocratie devrait apporter au plus faible les mêmes opportunités qu'au plus fort
                                                                                                 Gandhi (1869-1948)



Le vote est en fait une permission accordée par l’état pour user de la fortune, de la vie et du temps des autres citoyens avec ou contre leurs grès d'ailleur: en votant, le citoyen déclare remettre à la personne sélectionnée son avenir.En clair, le vote est un privilège prélevé et redistribué par l’état pour acheter au peuple sa souveraineté sur lui-même.Voter, c'est donc en tout premier lieu se défaire de sa propre liberté et de sa propre responsabilité.

L'on fait croire que le vote est le pilier,l'essence même du système démocratique mais en vérité,il ne sert qu'a donner une place à l'elite dans son organisation hierarchique tout en culpabilisant le citoyen qui n'en ferait pas usage,alors que c'est le politique lui-même,qui en ignorant le choix du non vote,ne respecte pas sa propre démocratie.En limitant ainsi la liberté d'expression électoral il fait passer une sanction citoyenne et humaine comme un acte incivique.

lors d'une élection,le vote est un acte,parait-il,par lequel le citoyen exprime ses idées, son opinion,bref une liberté d’expression mais dans une société ou le choix du vote n'est plus une valeur refuge pour les acquis du citoyen,le secret du vote interdit de savoir qu'elles idées ont réellement été choisie et même qui sont ceux qui ont suivi les avis donnés.Ce qui permet aux partis élus de s’approprier le lot tout entier,et de n’en distribuer qu'une partie que dans la mesure où cela suffira à acheter assez de voix pour gagner l'élection suivante

    

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:33

Lorsque l'homme s'habitue à voir les autres porter les chaînes de l'esclavage, c'est qu'il accepte lui-même un jour de les porter.
                                                                      Abraham Lincoln(président des Etats-Unis)

 


Le but de la démocratie n'est pas de légitimer le système en place,mais d'être à l'écoute de la société dans toutes ses formes

 

 

Dans l'hypothèse où le vote ne serait plus obligatoire en Belgique, ce sont les partis d'extrême droite qui seraient les plus touchés.« Les sondages de ces dernières années montrent que les électeurs du Vlaams Belang seraient enclins à ne plus voter », explique Pierre Verjans. « Ils râlent de devoir voter, de devoir payer des impôts, etc. » Si le vote n'était plus obligatoire en Belgique, les partis d'extrême droite seraient donc les premiers lésés.  


Les autres partis ne seraient pas désavantagés, estime le politologue. « La participation au vote diminuerait mais tous les partis y perdraient de façon proportionnelle. »
Si le vote était rendu non-obligatoire, « on tournerait autour des 20% d'abstention comme chez nos voisins » mais « ce serait quand même jouer avec le feu parce que ce devoir civique du vote obligatoire fonde l'identité belge », ajoute Verjans.


Cependant, l'Open VLD a proposé de supprimer toutes sanctions ce qui rendrait de fait le vote facultatif. Les libéraux flamands appuient leur proposition sur un constat : depuis 2003, personne n'a plus été sanctionné par la justice pour ne pas s'être présenté au bureau de vote.


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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:33
 le danger que l'on pressent mais que l'on ne voit pas est celui qui trouble le plus
                                                                                                                    Jules César 
 
 
Seul la classe politique,dans une démocratie véritable, a le droit de diriger l'avenir d'une nation,mais elle a le devoir de l'écouter dans sa contradiction pour y trouver avec elle le consensus d'un avenir meilleur.Si il n'y a pas de liberté sans prise de responsabilité, l'on ne doit jamais rejeter la responsabilité de son propre échec sur d'autres.Ne somme nous pas seul et unique maître de nos conditions et de notre situation,ne nous somme pas nous même enchaîné à notre fausse liberté.


 

 
 
Nous devons admettre l'évidence,le citoyen a peut de contrôle sur ces hémicycles,il ne sait pas ce qu'y si passe et ne peut compter que sur la déontologie éthique des politiciens travaillant les lois qui régissent notre société pour être defendu.La particratie a réduit à néant les outils defensif de contre-pouvoir sain pour la démocratie,ce qui permet à la tyrannie de la majorité,grâce aux alliances de partis politiques forts,d'éviter l'apparition de partis émmergents en se constituant des lois à leurs profits ou en occupant intensivement des médiat§s qui ne sont pas politiquement neutres et qui constituent donc un pouvoir détenu par les partis décideurs,ce qui renforce un risque de dérive vers une pensée unique et empêche toute amorce de bipolarisation réelle de l'enjeux électoral.
 
Ces coalitions sont rarement renversées par le parlement ou défaites par les urnes, elles auront plutôt tendance à imploser suite à l'apparition de divergences entre les composantes du gouvernement et provoquera le retour aux élections pour un éternel recommencement,créant de fait l'immobilisme politique.Les maux d'une démocratie qu'instaure le régime des partis est l'affaiblissement,en plus de l'éthique,de la libre expression,de l'égalité et de la participation.Seuls subsistent les appareils collectifs contrôler par l'Etat et les agents du système,même l'élection a été volé au peuple et le vote tronqué de sa representation premiere qui était,pour la defense des droits du citoyen,une expression collective pour un positionnement politique.
 
Les présidents de partis devenant,seuls,les véritables détenteurs du pouvoir, notamment en désignant les ministres appelés à siéger au gouvernement,ne peut que déboucher,pour la particratie,que sur un sens de l'Etat et de l'intérêt publique très faiblement développé puisqu'ils passent aprés l'intérêt du parti,véritable force combative pour la conquête du  pouvoir exclusive aux présidents et à leurs amis,avant même de s'intéresser aux attendes et préocupations des citoyens,puisque le vote pour un changement significatif n'existe plus dans la particratie des coallitions.Ce qui renforce une defiance généraliser envers un système que l'on sait joué à l'avance que l'on pourrait qualifier de médiocratie.
 
Si nous voulons sortir de l'immobilisme du système particratique et clientéliste pour la reconquête de nos appareils démocratiques et rompre ainsi avec l'idéal affairisme,nous devons renforcer la démocratie locale et créer une nouvelle voie de revendication et de participation pour le droit des citoyens d'exister dans la gestion des affaires publiques et qui fait partie des principes démocratiques communs à tous.Les citoyens développent,ainsi,leurs capacités citoyennes à prendre leurs responsabilités,elle pousse les élus et les administrations à prendre en compte les besoins de la population,à mener des politiques plus éfficaces et plus transparentes et ce n'est qu'au niveau local que ces devoirs peuvent être exercé le plus directement.
 
En permettant à la démocratie de se répandre de la base au sommet,les pouvoirs locaux participent à la démocratisation de la société,en transférant certaines compétences à des collectivités civiques dotée,elle-même, d'institutions démocratiques.
 
La décentralisation des pouvoirs participatifs et décisionel des partis visera,sous leur propre responsabilité et au profit de leurs populations,à donner la responsabilité des décisions à la plus petite entité capable de résoudre le problème.le but étant de garantir l’acceptation et la protection d'une certaine autonomie politique aux citoyens.
 
En réalité,on voit bien que le droit de vote n’a été accordé et reconduit que parce qu’il est finalement maîtrisé et sans danger pour l’ordre établi.Dans le contexte actuel,ce n’est pas en votant pour qui que ce soit  qu’on risque de faire changer quoi que ce soit d’important, au contraire.Et pour rendre hommage à celles et ceux qui se sont battus pour le droit de vote et la vraie démocratie,il vaut mieux ne pas se rendre complice des mensonges en cours et rejeter une illusion de participation à la politique du pays.

Il faut commencer par prendre conscience des impostures actuelles car si on croit en elles,elles ne risquent pas de disparaître,si on les confortes en plus par le vote l'on ne risque pas d’avoir l’idée d’inventer autre chose.
Ce n’est pas tant l’absence d’idées des candidats que l’on fustige, mais les mensonges officiels et l’absence de démocratie,le despotisme de l’Etat,du capitalisme et le totalitarisme général qui englobe tout ça.Voter supposerait que le système en place est perfectible et réformable, or il n’en est rien.

On entend dire partout que la démocratie est menacée,sinistre mensonge, pour que la démocratie soit menacée, il faudrait d’abord qu’elle existe ! La démocratie a été mise au tombeau depuis longtemps,et en votant aux prochaines élections,vous rajouterez une pelletée de terre bien lourde sur son cadavre,qui aura alors encore plus de peine à ressusciter un jour.

"Vous avez le droit de voter aux élections et de faire quelques manifs bon enfant, le reste du temps, fermez-la et participez avec zèle à votre exploitation et au pillage de la planète.Votez et consommez béatement, on s’occupe du reste pour vous." Telle est la réalité.Le pire est que la plupart des gens en sont conscients, même s’ils n’osent pas se le dire clairement.Ils préfèrent encore jouer le jeu plutôt que de s’engager dans une voie qui pourrait s’avérer trop contestataire.

Ça fait lucide et militant modéré de dire que la démocratie est menacée.On se pose en vaillant défenseur de la démocratie et on invite les braves citoyens à participer. On va alors parler de vote civique,de l’action citoyenne responsable,de contestataires sérieux... Toutes choses qui ne font que renforcer l’emprise du système sur soi-même tout en se donnant bonne conscience,au final ce n’est donc pas l’idée de vote ou de démocratie que l’on rejette,mais leur caricature criminelle qui veut nous arracher un signe d’allégeance et nous inciter à rester bien tranquilles.

Si vous vous offusquez du massacre du peuple Palestinien,de l'exploitation de l'Afrique,de l'abandon de vos concitoyens dans la misère,de vos difficultées personnelles,de la tristesse du monde,...comprenez dés lors que c'est le prix de votre vote,qui n'a qu'en vérité qu'un seul prix,celui d'une vie offert trop aisément dans un isoloir,ne l'oubliez plus,c'est lui qui légitime la situation actuelle du système en place.


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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:32

le choix d'une liberté n'est pas aisé à faire lorsque l'on est soi-même sous l'emprise de faux semblants
                                                                Thérèse Renaud(poétesse québécoise)




Nous ne devons pas oublier dans les analyses de l'abstention,les abstentionnistes forcés,ces citoyens ayant perdus leurs droits civiques ou administratifs et dont le % représente une société qui va mal et qui ne peut plus grand chose.Mais la plupart des abstentionnistes choisissent de ne pas voter parce qu'il ne font pas ou plus du vote l’expression de leur choix politique mais pourquoi ?


Il est vrai que depuis prés de 20 ans le citoyen a évolué autant intellectuellement que dans la compréhension de sa place véritable dans sa démocratie,ce qui lui a fait comprendre que les injustices qu'il subit vis à vis du système et de ceux qui le représente ne sont pas normales


Désormais il fait la différence entre les promesses irréalisables et celles qui sont dites pour plaire,il analyse mieux sont systême politique que le citoyen électeur puisqu'il lutte contre pour en ameliorer par sa participation,son égalité politique et civique son fonctionnement


Il voit les salaires perçus par ces élus et les comparent avec ceux de son milieux social,il voit leurs trains de vies pendant que lui,on l'oblige au sacrifice envers des idéaux politico-démocratique,il sait que c'est lui qui rembourse les erreures économiques de ses élites et qu'il a peut de poids pour s'en protéger,il a compris désormais que c'est par son absence au vote qu'il peut sanctionner ceux qui le trompe,maintenant il le sait,il doit défendre son choix par lui-même


Ce citoyen a compris que nous vivons plus qu'une  crise de la démocratie mais une crise démocratique et cela,par manque de moyens et d'idées pour un débat constructif sur les problèmes qui se posent au peuple,pendant que les idéologies partisanes pour la conquête du pouvoir enrayent les constructions d'avenirs commun à une nation,il comprend mieux que quiconque la notion du vote

Qui n'a d'autre effet,en plus d'avaliser un système qui le spolie,de dresser les uns contre les autres les citoyens, contraints de se battre entre eux pour reprendre leurs droits et leurs acquis aux détriments des autres,pas du politique bien sur,qui sont légitimés dans leurs désirs d’asservir puisque le vote les protège,ce qui favorise d'ailleur la colère entre minorités en la divisant pour mieux y régner.

La dernière grande approche pour expliquer l'abstention est  autrement connu comme la théorie de l'abstention de conjoncture ou de l'électeur rationnel. L'abstention ne peut pas être expliquée seulement par des logiques sociales, par une indifférence à l'égard de la politique ou par un refus total de la politique.

Elle dépend aussi de la conjoncture politique, de l'existence d'enjeux clairement identifiés et d'une offre politique susceptible de mobiliser l'électeur qu'il soit de Gauche ou de Droite. Selon cette théorie, l'électeur est considéré comme un être rationnel qui vote donc pour une raison. Si les gens votent aux élections ce n'est pas entièrement rationnel et nous devrions, en réalité, nous attendre à une situation d'abstention totale : c'est ce qui
s'intitule'le paradoxe du vote'

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29 mars 2008 6 29 /03 /mars /2008 19:32


 
Face à la chute de l'État-Providence,un système politique fondé sur l’irresponsabilité des personnes par une confiance forcée et aveugle enver les institutions,le responsabilisme individuel est la seule manière de faire trois choses urgentes : retrouver notre liberté,sauver notre regime démocratique ou le changer.Même si parmi nous,beaucoup comptent,encore,naïvement sur les hommes politiques pour le changement ou faire le nécessaire pour l'élévation sociale,la réalité en est tout autre hélas,les partis politique sont de plus en plus soumis à des forces bien plus complexe qu'il n'y parait,le lobbysme international,le monde financier globalisé,la politique international de pays plus puissant,délocalisations en nombre dans tous les secteurs,mouvements de capitaux immaîtrisés,la dette d'Etat et sa crise sociale démontre qu'ils ne peuvent pas le faire ou très peu,ce qui fait croire,a tord ou a raison,qu'ils sont le plus souvent les premiers bénéficiaires et profiteurs de ce gigantesque gâchis,qu'ils ont été mis en place par le système économiste pour garantir la pérennité de celui-ci.
 
Réalisant la faiblesse de nos institutions,nous devons être convaincu,par un travail systématique sur soi,que c'est la participation de chacun à l'élaboration politique d'un régime ouvert et solidaire qui répondra au besoin que nous avons d’une voie nouvelle de la connaissance pour trouver,actuellement,la force et la créativité nécessaires au changement de civilisation dont nous avons un urgent besoin,car la pratique du civisme développe précisément ce sens du responsabilisme dont l’humanité a besoin pour sortir de son adolescence pour découvrir cette liberté de la pensée qui marquera notre entrée dans l’âge adulte de l’homme.Mais le responsabilisme ne peut se fonder sans la connaissance de nos droits et des lois puisque quoi que nous fassions,il y a toujours quelque part notre responsabilité dans nos actes.S'il n'en était pas ainsi,nous ne serions pas citoyen.
 
C'est pour cela que nous devons être en faveur d'une forte démocratie locale constituer en univers autonomes,la démocratie locale est nécessaire et n'est pas en concurrence avec la démocratie représentative.Elle peut contribuer à une meilleur préparation des décisions.En s'affranchissant de l'espace politique ancien elle peut forcer ou bénéficier d'avantages,se constituant ainsi un véritable rempart juridique et civique si elle œuvre pour le plus grand nombre et non pour une minorité. Par le référendum décisionnel local ainsi que par le droit de pétition qui permettent à la démocratie de se manifester de façon plus efficace,cette démocratie participative doit être perçue comme une des institutions principales de manifestation de la contre-démocratie dans son ensemble car tous participent aux lois concernant les affaires publiques qui gèrent les affaires locales,ce qui déforcera la particratie par un rééquélibrage des droits et des devoirs qui decentralisera le pouvoir décisionnel.
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