28 avril 2008
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Nul n'est plus désespérément esclave que ceux faussement convaincus d'être libres.
Johann Wolfgang von Goethe
Johann Wolfgang von Goethe
Les analyses démontrent, en générale, que le vote blanc est plus intellectuel, l'abstention plus revendicative, le vote nul plus provocateur. Le vote blanc et nul peuvent être, toutefois, considéré comme de l'abstention cachée. Surtout dans les milieux ruraux ou le poids des interconnaissances et du contrôle social poussent les électeurs à voter blanc ou nul plutôt qu’à s’abstenir. Particulièrement aussi dans la fonction publique, structure politisée, de peur de représailles sur l'emploi.
Les citoyens adhérant, par leur vote blanc ou nul, au processus de l'isoloir qu'ils soient de gauche ou de droite ont, avant toute chose, tous une demande sociale ou une revendication politique envers plus de démocratie. Quelle soit pour d'autre ou pour eux même. En se rendant aux urnes, ils démontrent ainsi qu'ils ne remette pas en cause la procédure électoral. On pourrais subodorer que ces électeurs ne se trouvent pas ou plus représentés par le corps des élus, ni par leur génération, ni par leur origine, ni par leur profession. Une désagréable sensation de servir de caution démocratique à des élus qui poursuivent leur intérêt particulier, éloigne temporairement ces électeurs de voter pour un parti.
l'abstention ne représente plus seulement les pauvres ou les laisser pour contre de la société, elle représente aussi ceux qui sont solidaire avec eux. Des citoyens qui se rendent compte que leur démocratie ne les respectent plus et ne fonctionne plus. Des hommes et des femmes épris de liberté et respectueux de celles des autres. Elle touche toute les communautés, toute les classes sociales mais surtout toute les nations.
article du journal le soir du 6 Juillet 2009
Parce que malgré le suffrage universel, que ce soit dans des élections nationales, régionales ou locales. Le vote par scrutin secret dans le régime indirecte, qu'il soit obligatoire ou non, prouve la limite de la procédure démocratique actuelle. C’est lorsque le citoyen, au sortir de l'isoloir, se voit dépossédé de son vote au profit d'hommes et de femmes qui en feront, lors de leurs négociations, ce que bon leur semblera. De plus, le secret de l'isoloir tel qu'il est instauré ne permet pas de savoir quelles idées ont été choisie par l'ensemble du peuple ni même quel citoyen a suivit les avis donnés. Un système politique que l'on pourrait appelé de la supposition, ou l'on suppose que les citoyens soient d'accord avec les idées proposées sans savoir avec certitude avec quelles idées ces même citoyens sont en accord ou en désaccord.
En s'appropriant le lot économique tout entier, dans la mesure de n'en redistribuer qu'une partie pour gagner l'élection suivante, ils créent parmi les citoyens de la demande sociale. Les partis dominants Construisent les édifices du clientélisme. Ils deviennent ainsi les sauveurs d'une société qu'ils ont, eux même, mise en place. Ce qui permet à le ou les partis vainqueurs des élections, tout en faisant croire que les idées proposées sont issue du peuple, de conserver le pouvoir. Ces partis, pour se maintenir, on donc tendance à tout dominer et à tout régimenter.
Ce qui a considérablement retardé l'émergence d'une véritable société civile autonome par la pensée. Le régime politique représentatif indirecte ou système majoritaire qui a limité la démocratie qu'a sa participation électorale, ne permet pas la responsabilisation de chacun sur l'action publique à mené. Celle-ci est centralisée, concentrée par les partis et leurs présidents qui ont comme seul ligne idéologique concrète :"votez pour nous, nous penserons pour vous".
phrase clés : par mon absence au vote,je sanctionne